La récente crise des Gilets jaunes a remis en avant la question des fractures territoriales et l’opposition entre des villes-centres qui iraient bien et une France périurbaine qui irait mal. Il faut toutefois penser la ville dans sa globalité et combiner des approches géographiques, sociologiques et juridiques du sujet métropolitain. Comment mieux relier la ville à sa périphérie, comment faire de la ville une actrice efficiente de l’action sociale pour qu’une vraie solidarité s’exerce dans les territoires ? Comment garantir à tous un droit à la métropole ? Car sans surjouer les oppositions, en déjouant quelques idées reçues, en observant rigoureusement les initiatives locales qui pullulent, il est possible de l’affirmer : le bonheur est dans la métropole !